Aujourd’hui, les fours originaux sont toujours là et il arrive encore que la roche tombe dans la carrière… Sauf que ce n’est plus la pierre que l’on extrait de la carrière mais plutôt des tomates, des salades et des citrouilles ! Un grand merci à Genneviève et son époux pour leur accueil, leurs souvenirs et pour m’avoir permis de partager un peu de leur histoire. »
Pour en savoir plus, lire l’article de Paris-Normandie (1981)
Vestiges du premier four créé en 1855
L’entrée des deux fours créés en 1930
Le batîment qui servait de logement, d’atelier et de conditionnement
Sur les traces de Mérimée : découvrez les autres reportages
1 Commentaire
Je crois savoir que les fours à chaux d’Oissel appartenaient à mon arrière grand mère.
Elle s’appelait Mortreuil. Sa petite fille et son petit fils s’appelaient Lenormand
Jean Pelletier