QUE RESTE-T-IL D’ORGACHIM ? – part.1
Juin 2011 – Retour sur le site de l’ancienne usine d’Orgachim, ex-Quinoléïne.
Deux ans et demi après mon dernier passage, le constat est quasi-identique : l’odeur de brique écrasée et de fond de cuve est toujours bien présente. Les trous béants laissés par la démolition font office de réservoir pour les précipitations et autres dépôts stagnants. La dé-pollution du site ? Il semble que l’on ai adopté la manière… baignée dans son jus, dite aussi « naturelle ».
Deux ans et demi après mon dernier passage, le constat est quasi-identique : l’odeur de brique écrasée et de fond de cuve est toujours bien présente. Les trous béants laissés par la démolition font office de réservoir pour les précipitations et autres dépôts stagnants. La dé-pollution du site ? Il semble que l’on ai adopté la manière… baignée dans son jus, dite aussi « naturelle ».
Une vue panoramique prise depuis le manoir (toujours debout), vestige des grandes heures de l’usine et qui abritait les services administratifs de la direction. Une série à suivre…
[ Cliquez sur la photo pour voir en grand – 1800 px ]
Vous êtes un ancien employé d’Orgachim ou de la Quino ?
N’hésitez pas à laisser votre témoignage 🙂
Voir aussi ::
La démolition d’Orgachim
5 mois avant la démolition, visite du site (1)
5 mois avant la démolition, visite du site (2)
5 mois avant la démolition, visite du site (3)
3 Commentaires
Cette usine avant de baigner dans son jus, a baigné mon enfance. La Quino, Orgachim c'est toute l'histoire d'un quartier (Gaures et Kirschner) : la fête dans les champs (14 juillet), les vaches et ses fermiers, les majorettes, les voyages familles de la Quino à 4H du mat', les jardins ouvriers, l'épicerie de Mme BONNET… Un avant, un après, le fossé est grand : visuellement, psychologiquement. Merci pour ce pti clin d'oeil
Merci Amel 😉
Il est vrai que cet axe de Oissel, je ne l'ai découvert que sur le tard, quand j'ai commencé à m'intéresser au passé ouvrier de la commune… Et la vie autour/au travers de cette vieille usine a grandement sa place dans son histoire.
Alors merci pour tes souvenirs, et si d'autres te viennent, n'hésites pas 😉
Bonjour
Je suis l’un des petits fils de Jacques RECHER qui à travaille au sein de QUINOLÉïne de Oissel