que de souvenir j'habitais au fond de cette cour commune à gauche en entrant. C'était spartiate mais source de mille jeux endiablés avec des familles à la personnalité bien trempée. Le forgeron existait encore près de l'Eldorado… Dans cette cour subsistait une grande manivelle pour l'eau, une buanderie à l'ancienne, des ateliers, des toilettes au fond du jardin… ça sentait le pin scié et le saindoux sur la lame, le rhum sur un bout de sucre, le parfum des lilas blancs et du muguet, les nectarines généreuses et les pêches duveteuses, les fleurs odorante d'un seringuat… C'était la famille DELASTRE, famille ouvrière, il y avait je crois la famille Chéri, Dupuis, Legras et cette maison photographiée était occupée à mon époque par le couple de retraités Mr & Mme Thiours (excuse pour le nom) tout au fond il y avait Alice une délicieuse dame accompagné par Ali qui était pour moi un Prince des mille nuits quand ils revenaient parfois de je ne sais où ( d'Orient ) avec toujours un petit jouet… à le 13 rue Sadi Carnot! Laurent DELASTRE
Et bien ! Je crois que l’on tient là le prix du commentaire utile… et bien écrit 😉 Merci Laurent pour tous ces souvenirs sur ton passé osselien. A l’occasion, j’essaierai de prendre quelques clichés de la cour. Au plaisir de te relire.
merci pour la lecture interessée! le temps fait son ouvrage et charge ma bibliothèque des souvenirs… cette cour m’est chère, à la fois anonyme pour la plupart et connue de tous à travers leurs propres souvenirs… : on a tous une cour un quartier dans son coeur mais la cour ou plutôt « la cour commune » comme on l’a désignait était comme un immeuble à étage mais avec un seul palier… j’ai tant à dire sur une enfance à Oissel, nous avons tous été des « Harry POTTER »… mais les raconter serait peut-être en décalage avec ce magnifique Blog… il faut que je trouve un moment pour ficeler tous celà en histoire… personnelle et collective! Laurent
4 Commentaires
que de souvenir j'habitais au fond de cette cour commune à gauche en entrant. C'était spartiate mais source de mille jeux endiablés avec des familles à la personnalité bien trempée. Le forgeron existait encore près de l'Eldorado… Dans cette cour subsistait une grande manivelle pour l'eau, une buanderie à l'ancienne, des ateliers, des toilettes au fond du jardin… ça sentait le pin scié et le saindoux sur la lame, le rhum sur un bout de sucre, le parfum des lilas blancs et du muguet, les nectarines généreuses et les pêches duveteuses, les fleurs odorante d'un seringuat…
C'était la famille DELASTRE, famille ouvrière, il y avait je crois la famille Chéri, Dupuis, Legras et cette maison photographiée était occupée à mon époque par le couple de retraités Mr & Mme Thiours (excuse pour le nom) tout au fond il y avait Alice une délicieuse dame accompagné par Ali qui était pour moi un Prince des mille nuits quand ils revenaient parfois de je ne sais où ( d'Orient ) avec toujours un petit jouet… à le 13 rue Sadi Carnot! Laurent DELASTRE
Et bien ! Je crois que l’on tient là le prix du commentaire utile… et bien écrit 😉 Merci Laurent pour tous ces souvenirs sur ton passé osselien.
A l’occasion, j’essaierai de prendre quelques clichés de la cour.
Au plaisir de te relire.
merci pour la lecture interessée!
le temps fait son ouvrage et charge ma bibliothèque des souvenirs… cette cour m’est chère, à la fois anonyme pour la plupart et connue de tous à travers leurs propres souvenirs… : on a tous une cour un quartier dans son coeur mais la cour ou plutôt « la cour commune » comme on l’a désignait était comme un immeuble à étage mais avec un seul palier… j’ai tant à dire sur une enfance à Oissel, nous avons tous été des « Harry POTTER »… mais les raconter serait peut-être en décalage avec ce magnifique Blog… il faut que je trouve un moment pour ficeler tous celà en histoire… personnelle et collective!
Laurent
Ton commentaire en rejoint d’autres ( http://www.oissel.net/2009/02/il-neige-sur-la-ville-2.html ) et l’idée de réunir tout çà fait son chemin… Je réfléchis à uns solution 😉